Trois croyances qui te freinent
Trois croyances qui te freinent

Trois croyances qui te freinent

Trois croyances qui te freinent

Ne freine plus des 4 fers!
Nous passons tous par des moments où nos freins intérieurs nous empêchent d’avancer. La stagnation peut avoir du bon, mais… Pas toujours. Plus elle s’installe, et plus elle devient norme pour nous, comme une petite voix qui nous rappelle à l’ordre lorsqu’on essaie de s’opposer à ses injonctions. Les freins que nous ressentons tous à un instant de notre vie peuvent être très aléatoires, variés, couvrir de nombreux aspects de notre existence. Mais très souvent, je rencontre les mêmes chez divers individus.

Main tendue pour attraper une plante sauvage

Voilà les 3 blocages principaux que j’ai rencontré au fil de mon expérience personnelle et professionnelle:
~ « Il y a toujours pire que moi »: Quand tu laisse cette phrase prendre le pouvoir en toi, tu minimises tes expériences et tes vécus, et tu t’interdis de reconnaître ton droit à la souffrance. Il y aura toujours quelqu’un de plus triste, plus malade, plus … quoi? Est-ce que cette personne a vécu ta vie à toi? Non. Alors souviens-toi que tu as la même valeur que n’importe qui dans tes épreuves. Pour autant, tu N’ES PAS la somme de tes épreuves, mais bien qui tu décideras de devenir à un instant clé de ton existence.
~ « Si je mets de côté, ça passera »: Probablement oui, combien de temps? Non parce que c’est justement en mettant de côté que ton réservoir de frustration, de colère et de fatigue mentale se remplissent à bloc. Veux-tu voir à quoi ressembleront les somatisations qui en découleront quand ton corps parlera pour tes émotions? Elles peuvent ressembler à une tristesse intense, des migraines, des troubles de l’humeur, une dépression / un burn out, des douleurs articulaires, des insomnies ou réveils nocturnes fréquents, des inflammations plus régulières, une fatigue persistante…
~ « Reste fort, les autres ont besoin de toi »: Ca, c’est certain, l’autre a besoin de toi, mais pas comme tu le penses. Il a besoin de toi, dans ta plus pure transparence pour deux raisons: 1) il constatera que ce n’est pas un drame d’être fragile, au contraire, surtout s’il s’agit d’un enfant en face 2) il devra se responsabiliser dans sa propre gestion émotionnelle sans t’imposer de la gérer pour lui. Chacun reprenant ainsi sa part des bagages à porter, le chemin est plus lisible, plus facile à arpenter, mais surtout, plus équitable.

As-tu, toi aussi, des idées qui te traversent dans les moments plus compliqués? Partage-les en commentaire. Et si tu as envie d’en parler avec moi, c’est ici que ça se passe!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *